Il y a un Avant le confinement avec les open-spaces bruyants, fortement décriés. Il y a un Après, après l’expérience du télétravail pour un grand nombre. Est-ce que la formule magique résiderait dans une généralisation du travail à distance pour régler le problème du bruit et de ses impacts santé ? Avis des experts de l’association JNA. |
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A l’occasion de la 4e édition de la campagne Semaine de la Santé Auditive au Travail du 14 au 18 octobre 2019, les experts de l’association JNA ont souhaité évaluer la réalité des impacts santé du bruit et des nuisances sonores subis sur le lieu de travail par les actifs au travail. L’association JNA et l’Ifop ont donc mené une enquête et les résultats sont alarmants, pour l’Homme et pour l’Entreprise. |
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Les nuisances sonores en entreprise impactent directement la productivité de celles-ci. L’an dernier, la JNA mettait en lumière que 1 actif sur 5 perdait plus de 30 minutes de travail par jour à cause du bruit*. Les nuisances sonores sont un réel manque à gagner pour les entreprises. Sur la base de cette étude, il est possible d’évaluer la perte de productivité, avec un coût global qui s’élèverait à 23 milliards, hors coûts liés à l’impact sur la santé des parties prenantes. En effet, le bruit en entreprise provoque une perte d’intelligibilité de la parole, notamment en open-space. Ce (fort) désagrément, à répétition, provoque fatigue, irritabilité, stress et, in fine, accidents par perte de vigilance et désertion du lieu de travail. A l’occasion de la 4ème campagne de la Semaine de la Santé Auditive, la JNA fait de la communication, des échanges et du bien-vivre en entreprise, son cheval de bataille. Découvrez comment « survivre » en open-space, pour en faire un lieu de forme et de vitalité en entreprise. |
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Pour cette 4e édition, les experts de l’association JNA alertent sur les difficultés de compréhension de la parole en milieu de parole. L’omniprésence du bruit en est l’une des principales causes. 56% des actifs au travail déclarent avoir des difficultés à suivre les conversations au travail en raison du bruit ambiant. L’avancée des connaissances en neurosciences permet de mieux comprendre le fonctionnement de l’aire corticale auditive et donc des mécanismes de l’audition. Aussi, le stress acoustique subi par l’oreille, est source de désordres de santé, de forme et de vitalité chez les actifs. Les actions ont longtemps été orientées « lutte contre les risques de surdités », aujourd’hui il est nécessaire de prendre en compte les risques extra-auditifs liés aux expositions sonores. Voici un nouveau levier pour optimiser les politiques RSE et les programmes de Santé et de Qualité de Vie au travail. Ainsi, cette grande campagne qui rassemble les acteurs de la prévention et de la santé ainsi que les acteurs socio-économiques des entreprises vise à informer et sensibiliser sur les apports vertueux de la santé auditive pour l’être humain au travail et pour l’entreprise. Tous gagnants. | |
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A l’occasion de la 4e édition de la Semaine de la Santé Auditive au Travail, les experts de l’association JNA rappellent que l’accès à la communication est l’une des 3 fonctions clés de l’audition. Cette capacité dépend de la bonne fluidité des transmissions des informations sonores au cerveau. Or 7 actifs sur 10 indiquent qu’ils ne s’entendent plus au travail ? 83% déclarent que les expositions sonores les rendent nerveux et agressifs. A l’ère du tout communiquant, serions-nous aveuglés par un nouveau secret de polichinelle : le bruit est un ami toxique à notre santé et à notre vie sociale au travail. La législation sur le bruit au travail est anachronique. Comment agir ? |
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